Anthony Levandowski, un ancien ingénieur de Google condamné à 18 à mois pour vol de secrets commerciaux avant de rejoindre le Uber projet de construction de véhicules autonomes pour son service de transport de passagers.
La décision, publiée mardi par le juge fédéral William Alsup, a été rendue publique plus de quatre mois après que l’ancien ingénieur de Google Anthony Levandowski est parvenu à un accord de plaidoyer de culpabilité avec le parquet, qui a déposé une plainte pénale contre lui en août de l’année dernière.Anthony Levandowski, un ancien ingénieur de Google condamné à 18 mois
Levandowski, qui a contribué à alimenter le projet de véhicule autonome de Google avant d’accepter un poste chez Uber, a également été condamné à payer plus de 850000 $.
Alsup a pris la décision inhabituelle de recommander au ministère de la Justice d’ouvrir une enquête pénale contre Levandowski, tout en présidant un procès civil notoire entre Uber et Waymo, une subdivision du projet de véhicule autonome que Google a lancé en 2007 après avoir embauché Levandowski pour faire partie de ton équipe.
Levandowksi a finalement été déçu par Google et a quitté l’entreprise début 2016 pour créer sa propre entreprise de camionnage autonome, nommée Otto, qu’Uber a finalement acquise pour 680 millions de dollars.
Cependant, avant de quitter Google, Levandowski a téléchargé des fichiers contenant la technologie de véhicule autonome de Google, ce qui lui a valu 33 accusations de vol de propriété intellectuelle. Il a fini par plaider coupable à une accusation, aboutissant à la peine de mardi.
L’acte d’accusation a fait de Levandowski, une fois honoré pour ses premières percées dans le secteur des véhicules autonomes, une personnalité éminente qui «est presque devenue synonyme de cupidité qui règne dans la Silicon Valley», ont reconnu ses propres avocats dans des documents déposés auprès de moi.
Les avocats ont fait valoir que Levandowski méritait une certaine clémence car il n’y avait jamais aucune preuve qu’il ait utilisé les secrets commerciaux de Google tout en supervisant la division des véhicules autonomes d’Uber. Il a perdu cet emploi en 2017 tout en respectant ses droits du cinquième amendement à la Constitution, qui le protègent de l’auto-incrimination, quand Uber s’est défendu contre le procès Waymo.